mardi 8 avril 2014

Youhouuuuu ?

Ouais, ouais, ça va, ch'suis là. 
J'ai peur de sortir mon téléphone, de regarder mes emails, de tomber sur des photos compromettantes de mes contacts, on sait jamais. 

Bon, en fait non. 
Mais j'ai eu beaucoup de travail la semaine dernière. J'ai bien pensé au blog, aux bêtises billets éminemment importants que je pourrais écrire mais j'ai eu grosse flemme. 

Et pis j'ai pas reçu de photo de botte, de batte ni d'autre chose, c'est presque décevant (J'ai vérifié : le bidule fonctionne). 

1. Il fait beau. 

2. J'ai glandouillé presque tout le week-end. 

3. Je me suis plongée dans House of Cards et j'ai du mal à décrocher. Je me suis plongée dans Suits et j'ai du mal à décrocher. Je me suis plongée dans des bouquins et j'ai du mal à choisir sur les trois lequel je veux finir en premier / dernier. 

4. Je fais plein de choses, et plein de rien aussi, comme hier soir où à 18 heures je me suis endormie comme une grosse limace sur mon canapé, et j'ai réussi miraculeusement à émerger avant 19 heures et à être à l'heure à mon entraînement de natation. 

5. Faut que j'arrête de boulotter n'importe quoi parce que sinon je vais avoir du mal à me sangler dans mon maillot de bain pour aller à l'entraînement sus-cité. Demain, j'arrête. Dès que j'ai fini le gianduja que je viens de rapporter d'Italie. 

6. J'ai plein de boulot cette semaine aussi, entre autres parce que je suis allée me balader à Bologne la semaine dernière sur un salon et que du coup, le travail ne s'est pas fait tout seul pendant que mes lunettes de soleil et moi, on boulottait de la burrata (dommage, d'ailleurs). 

Mais avapasmal. Un petit manque de vitamine S, peut-être mais rien de grave. Bon, je me suis mangé un môssieur ce matin, qui promenait trois enfants sur un trottoir à l'heure où on essaie tous d'arriver à l'heure au bureau. Il les avait bien alignés sur le trottoir façon péage, et là, il entreprend un atelier mouche-ton-nez et houspille les gens comme moi qui envisagent de demander pardon pour passer, façon c'est ça, vous avez un avion à prendre, dépéchez vous. J'ai bouilli intérieurement et au lieu de lui galoper dessus avec une bordée de jurons, j'ai souri et je lui ai dit en passant à côté de la petite dernière qu'il venait de décaler pour ouvrir le péage prenez votre temps pour mal les élever, bonne journée Monsieur. Et cette petite réussite minable, ne pas avoir insulté le môssieur, et l'avoir dit avec le sourire, rhooo c'était bon. Evidemment si on lit entre les lignes on entend ma voix intérieure qui dit simplement pousse toi avec tes microbes, connard mais comme c'est dit avec le sourire, il ne peut que s'étrangler avec son mouchoir à carreaux. C'est vil mais c'est comme ça. 

Allez, je file travailler un petit peu, histoire de faire comme si. 
Soyez sages, vous, au moins. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Parlez moi d'amour...